Certains disent que l’art de la rue et la calligraphie arabe ne peuvent pas s’unir.
C’est un pré-jugement qui vient de tomber grâce à un certain El Seed, graffeur français d’origine tunisienne.
Attiré par le script arabe, il l’a étudié à l’age de 23 ans chez des calligraphes de renommée : le tunisien Nja Mahdaoui et l’irakien Hassan Massoudy.
Malgré la rigueur de la discipline, il a réussi à la fusionner avec le graffiti pour inventer le « calligarffiti » arabe; une nouvelle discipline dans laquelle il intègre la splendeur et la beauté du manuscrit arabe avec le street art.
Et il parait qu’il se plait, il a commencé à reproduire ses dessins en Tunisie juste après la révolution du 14 janvier, à une époque ou l’art de la rue a connue une vrai explosion dans ce pays.
On peut voir ses dessins à Tunis cote à cote avec celles de Ahl…
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